« Tu n’introduiras point une chose abominable dans ta maison, afin que tu ne sois pas, comme cette chose, dévoué par interdit ; tu l’auras en horreur ; tu l’auras en abomination, car c’est une chose dévouée par interdit » Deutéronome 7 : 26

Shalom !

Un Pasteur, puissamment oint, avait un puissant don des miracles. A la tête d’une Église prospère et très bien structurée de plusieurs milliers de fidèles, il était à la fois un époux comblé et un heureux papa d’une fille et deux garçons. Cet homme de prière qui craignait l’Eternel fut un jour invité en Inde pour une grande croisade d’évangélisation. Pour lui, c’était une belle occasion d’apporter l’évangile dans ce coin du globe encore très peu impacté par la parole de Dieu. Le programme fut d’un succès époustouflant : il y eut plusieurs miracles et des guérisons surnaturelles. Alléluia ! A la fin du programme, il fut reçu en grande pompe par l’un des plus hauts dignitaires et l’un des plus fortunés de New Dehli. Au départ du Pasteur, le richissime homme d’affaires lui offrit un prestigieux et somptueux cadeau, un objet d’art d’une valeur inestimable et d’une beauté remarquable.

De retour chez lui, il déposa son précieux cadeau en lieu sûr. Une semaine après ce voyage, la femme du pasteur remarqua qu’il ne priait ni ne méditait plus la parole de Dieu ; pire, il passait des heures à suivre des séries hindoues. Les efforts de son épouse pour éveiller sa conscience furent vains. Progressivement, de l’alcoolisme, il commença à battre femme et enfants qui finissent par l’abandonner. L’Eglise fut fermée. De la prison, il échoua au centre psychiatrique. Après d’intenses moments de prière, un Pasteur eut enfin la révélation que la source de sa chute provenait de ce cadeau ramené de l’Inde. Aussitôt l’objet détruit, Il reprit conscience hélas après neuf horribles années d’atrocités.

Bien-aimé(e), que ce soit une personne, un objet, un animal ou autres, prions toujours et soyons très vigilant(e)s sur ce que nous ramenons chez nous. Que les cas de Rachel (Genèse 31 :19) et de Guéhazi (2Rois 5 :20-27) nous inspirent.

Bien aimé(e), si tu gardes encore chez toi un fétiche ou tout objet suspect, veuille te repentir et t’en débarrasser à temps. S’il y a chez toi des objets abominables dont tu ignores l’existence, que le feu divin les anéantisse au nom de Jésus. Si enfin, des objets abominables ont déjà commencé à te nuire, que Dieu te restaure au nom de Jésus.

Bonne méditation !